Robouboule à l’école des sorciers
Dans la classe de CE2 de l’école Robert Desnos à Entraigues, en 2018, les élèves ont fabriqué et donné vie à un robot, qu’ils ont programmé, avec des commandes pour qu’il puisse se déplacer sur un chemin coloré. L’histoire de Robouboule ne faisait alors que commencer !
C’est l’univers d’Harry Potter qui fut ensuite développé et dans lequel le petit robot s’est plongé. A partir de là, Cinambule a fait son entrée pour mettre en scène une histoire en images animées !
Les élèves ont travaillé en classe avec leur professeure autour d’un scénario bien ficelé, où Robouboule entre à l’école des sorciers. Une fois terminé, Cinambule a récupéré les grandes lignes de l’histoire, afin d’en faire un story board, pour donner une base de séquences à réaliser : la rencontre d’Hagrid et Robouboule au magasin de jouets, le match de Quidditch… Les enfants ont également dessiné en amont leurs « personnages pantins » à animer, en prenant soin de séparer les différents éléments du corps, pour pouvoir ensuite les articuler avec de la pâte à fixe.
Quelques semaines plus tard, l’équipe de Cinambule a été très émue de recevoir de la part des élèves
une lettre, qui ne donne qu’une seule envie, celle de poursuivre des ateliers pour donner du plaisir, de la joie et de la confiance aux participants, ainsi que de les rendre fiers de ce qu’ils font grâce au cinéma ! Sans oublier que la lettre était accompagnée de jolis dessins, parce que selon les mots des élèves, « les gens de Cinambule, il ne faut pas leur parler avec des mots, mais avec des images ! ».
– Atelier de réalisation
– 1 classe entière en CE2
– 1h d’intervention en amont de l’atelier par l’équipe de Cinambule pour faire une démonstration de prises de vue en animation, afin de préparer la journée de tournage et de donner une idée aux élèves du déroulement de l’atelier.
– 1 journée de tournage : 1 demi-groupe le matin, 1 demi-groupe l’après-midi
– Préparation des scénario, décors et personnages (papier découpé) en amont de l’atelier lors d’une semaine banalisée à l’école